#Jazz & #Culture : 
Bill Evans

Le 15 février 1975, Ce jour-là je suis né au jazz. Quelle mémoire me direz-vous ! Mais non, l’événement je m’en souviens, la date, merci le net. Au Théâtre de Nice (l’ancien, le truc mal fichu, carré, fait de béton et de ferraille, aux sièges de 4L, qui trônait sur l’esplanade du Paillon) se produisait Bill Evans.

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Ecrit par Jean Bellissime

#Jazz & #Littérature 
Gil Scott-Heron « Le Vautour » Editions Points

Cyril Hely avait évoqué de façon très onirique dans le précèdent numéro du Jazzophone, Gil Scott-Heron et son roman « Le Vautour », le seul traduit en français hélas. Paru à éditions de L’Olivier, la collection Points lui redonne une nouvelle vie. Revenons donc sur ce roman, publié à New York en 1970, Gil Scott-Heron n’a pas vingt ans à l’époque, il est poète et se lance dans une fiction sur le quartier de Chelsea à Manhattan, non loin d’où il vit.

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Ecrit par Jacques Lerognon

#RIP Aretha Franklin « Queen of Soul »

Aretha Franklin qui, vient de nous quitter à l’âge de 76 ans des suites d’un cancer du pancréas restera pour l’éternité l’une des plus grandes chanteuses de l’histoire de la musique afro-américaine, et même au delà des frontières de celle-ci. En 1968Aretha Franklin fut classée en seconde position des personnalités afro-américaines les plus connues au monde, juste derrière Martin Luther King.

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Ecrit par Gilbert D'Alto

#Chronique #Souvenirs #70ans Nice Jazz Festival : Datskat

Lorsque Franck m’a proposé d’écrire quelques lignes sur un de mes plus beaux souvenirs du Nice Jazz Festival, une certaine tendance à la facilité et la paresse, doublée d’une mémoire de poisson rouge, m’ont incité à scruter l’année 2017. La prestation mystique du prophète Kamasi Washington étant déjà abordée par une autre camarade, j’ai dû me résoudre à l’impossible : parcourir le passé glorieux du Nice Jazz Festival à la recherche de ma madeleine de Proust.

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Ecrit par Cyril Hely

#Chronique #Souvenirs Jazz à Juan : Joe and John

Juillet 1979 Jazz à Juan, mon 1er concert de Jazz et la claque musicale de ma vie: Weather Report avec Jaco Pastorius. Près de 40 ans après, j’y pense presque tous les jours. Bien sûr ce soir-là c’est Jaco Pastorius qui m’a bouleversé, dans mon souvenir  «Bruce Lee  à la basse » ! Mais il y avait aussi ce gars aux claviers avec ses climats nouveaux pour moi : Joe Zawinul. À la fin du concert, j’étais devenu un fan inconditionnel. Suite →

Ecrit par Imago records & production

#Chronique #Souvenirs #70ans Nice Jazz Festival : Muddy Waters : une montagne du blues

Mc Kinley Morganfield en 1915, il devient Muddy Waters ce qui signifie « eaux boueuses », surnom donné par sa grand-mère quand enfant, salit, il rentrait après avoir joué dehors… Fils de paysan dans des champs de coton, il apprend l’harmonica, et la guitare… « Je voulais avant tout sortir de la plantation. Pour cela, j’avais trois possibilités : le base-ball, l’église ou la musique »… Bon choix, car il participera à la naissance du blues électrique de Chicago !

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Ecrit par Jack Lalli

#Chronique #Souvenirs Jazz à Juan : Lionel Hampton, un 18 juillet 1985 !

La tension quotidienne dans le travail d’un journaliste c’est souvent le fait de ne pas savoir ce qu’il fera le lendemain. Y’aura-t-il une actualité brûlante où un banal fait-divers, mais il y a aussi ce qu’on appelle un « marronnier » dans notre jargon qui peut parfois se transformer en scoop. Pour votre serviteur ce fut le cas, je devais couvrir les festivals de jazz de la Côte d’Azur en essayant de ne pas annoncer simplement le programme… ce fut la bonne idée ce 18 juillet 1985 à 10 heures, à l‘aéroport de Nice, sur la piste où l’on pouvait à l’époque filmer les personnalités qui débarquaient… nous attendions l’une des têtes d’affiche du festival international de Jazz d‘Antibes Juan les Pins. Suite →

Ecrit par Jean-Pierre Lamouroux

#Chronique #Souvenirs #70ans Nice Jazz Festival : L’instant D’après

Comment ne pas oublier l’interprétation de « Take the A train » de cet instant mémorable, certes la transe n’aura pas manquée durant toute cette soirée, les deux rappels, le solo du bassiste Anthony Jackson je crois, le final du batteur Steve Gadd mais la tête de proue de ce moment unique, vous aimeriez bien le savoir, bref juste pour vous dire que nous n’oublions jamais les gens qu’on aime même si c’est en passant par-là, le hasard de la vie.

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Ecrit par Isa Dite Lazaza
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